Disposé tel une antenne bien protégée par la cage thoracique, il est le moteur de la cohérence cardiaque et nous apporte toutes les perceptions émotionnelles que nous nommons « de cœur ». Nous disposons scientifiquement d’un impact possible sur celui-ci, par des méthodes d’apprentissage, et c’est la preuve de son individualité face au cerveau crânien.
Cet « organe », constitué de 40 000 neurones, est en constant dialogue avec notre cerveau crânien, et peut aller jusqu’à apporter la totale rétro information d’un réel examen de conscience, par sa comparaison des actes avec la génétique, s’il est doté du Saint-Esprit. La logique de l’instinct animal sous tutelle, nous prive de cette fonctionnalité au profit de cette tutelle, et c’est en cela que Jésus dans le « cœur », libère de la tutelle de Satan.
Il est centré au niveau du Petit Cerveau du Cœur, mais ne provient pas de l’influx nerveux, car celui-ci n’est pas un courant électrique en soi.
L’intensité de chaque photon est très faible, mais elle se situe toutefois dans les ultraviolets et pourraient être à l’origine de perceptions, ressenties au niveau du Petit Cerveau du Cœur, concernant le bien-être ou mal-être entre individus, humains ou non.
Selon le schéma précédant, la création des premières données émotionnelles au niveau de l’esprit, dans le cerveau limbique du fœtus, se fait à partir d’une émotion maternelle qu’il perçoit, à laquelle il attribue un contexte environnant, au travers de son ouï et de son Petit Cerveau du Cœur. La transcription en action qui le rendra vainqueur de cette émotion, est donc produite par l’impact, sur la génétique du sujet, qu’apporte la logique dont il est doté, avant qu’une programmation globalise à la naissance, les actions sensiblement égales. La nature, de l’ensemble du système émotionnel humain, est ainsi définit par la logique de base animale sous tutelle, ou celle du Saint-Esprit dans le cas de Jésus, et ne peut changer de nature tant que sa construction n’est pas terminée. L’apprentissage de l’enfance, vers le respect de la volonté divine, est d’autant plus grand lorsque l’enfant reçoit le Saint-Esprit en bas âge, mais cela ne change en rien la nature initiale de son système émotionnel, puisque toute donnée additionnelle, apportée avant la programmation des sentiments à l’adolescence, ne possède qu’une valeur corrective de la base initiale.
Après la naissance, ce système émotionnel permet des réactions rapides, gérées par un circuit cérébral court, ou un circuit long moins rapide, qui englobe les analyses cérébrales et permet une meilleure adaptation de l’action au contexte. Dans les circuits courts, les analyses cérébrales n’étant pas présentes, le Petit Cerveau du Cœur est le seul élément correcteur des cinq sens, pour ajuster l’action programmée au contexte, et cela met en évidence l’importance du Saint-Esprit au niveau de cet organe, pour entrer dans le respect de la parole de Dieu, tout autant que l’amour.